À la 12e place du classement des Grandes écoles de management de France, Montpellier Business School forme chaque année près de 3 700 étudiants aux métiers du commerce, de la négociation, des ressources humaines, du marketing, des achats, de la finance ou du contrôle de gestion. Avec 80 enseignants permanents et 300 intervenants professionnels annuels, l’école fondée il y a 125 ans a très tôt pris le parti de l’alternance pour s’ouvrir à tous les milieux étudiants. Ce choix garantit aujourd’hui des taux proches du plein emploi à la sortie.

 

Olivier Gullaud est responsable des relations avec les entreprises en Occitanie à Montpellier Business School.

« Nous sommes numéro 1 sur l’alternance, annonce Olivier Gullaud, responsable des relations avec les entreprises en Occitanie. 95 % de nos étudiants en Programme Grandes Ecoles passent par cette voie professionnalisante au sein de leur cursus. Aujourd’hui, 80 % de nos étudiants sont embauchés avant diplôme, souvent par l’entreprise où ils ont réalisé leur alternance. Ce choix a été guidé par la politique d’égalité des chances menées depuis 25 ans au sein de l’école. »

 

L’alternance, nouvelle voie royale pour entrer sur le marché du travail

Selon Julien Granata, enseignant chercheur en management, c’est une véritable « force de frappe de terrain » développée par Montpellier Business School grâce à son réseau d’entreprises. « Aujourd’hui, 30 % de nos étudiants réalisent leur alternance dans des entreprises d’Occitanie, un peu moins de 50 % à Paris. Ce sont plus de 1 000 entreprises qui accueillent nos étudiants alternants chaque année. Si l’école a une dimension internationale, nous souhaitons garder son ancrage local fort », ajoute Olivier Gullaud.

Ce « taux d’employabilité » à la sortie de l’école participe pleinement à l’engouement pour Montpellier Business School. À travers le recrutement des étudiants et la formation des entreprises, l’école souhaite être à la fois un acteur et un outil de développement économique de la région.

En plus de la voie initiale (Bachelor Bac + 3 ou Programme Grandes Ecoles Bac + 5) ouverte sur certaines années à l’alternance, Montpellier Business School forme aussi les professionnels à leurs changements de carrière.

L’Executive MBA est destiné à des actifs en changement de poste. « Le profil type est une personne en poste qui évolue vers des fonctions à responsabilité et doit se former pour ça. Nous limitons chaque promotion à un petit groupe d’une trentaine d’étudiants maximum, issus de grands groupes mais aussi de PME ». Au sein du MBA, un module « projet professionnel » offre un accompagnement et un coaching spécifique au projet de chacun. « Nous faisons appel à des spécialistes issus de différentes entreprises françaises. Pour apprendre par exemple le métier de cadre, on va faire du « picking », piocher dans différents secteurs d’activités. »

 

La RSE intégrée à tous les enseignements

Au cœur des formations de Montpellier Business School, la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) est devenue une spécificité de l’école. « La RSE est complètement intégrée dans l’ensemble de nos enseignements initiaux ou professionnels, explique Olivier Gullaud. Elle est au cœur de notre recherche. Nous accompagnons en Région des entreprises de toutes tailles dans la structuration de leur politique RSE. La Région Occitanie nous a mandaté aux côtés du réseau d’entreprises Face Hérault pour établir un diagnostic RSE destiné à une centaine d’entreprises occitanes. »

 

Une chaire sur la digitalisation du secteur viti-vinicole avec Vinseo

Julien Granata, Professeur – Référent académique formation professionnelle à Montpellier Business School à Montpellier Business School

Enseignant chercheur, Julien Granata est associé et responsable d’axe de la chaire MIND, qui étudie « l’anti-fragilité et la digitalisation des entreprises » dans le secteur viti-vinicole, en collaboration avec les clusters Vinseo et Provence Rosé.

« Tout le monde étudie la high-tech alors que 90 % des autres secteurs low-tech (traditionnels), sont ceux qui doivent faire le plus face à la crise et à la digitalisation, constate le chercheur.

Les entreprises qui résistent le mieux sont celles qui investissent et agissent rapidement pendant une crise : cela concerne moins de 15 % de nos sondés. Il existe une forte corrélation entre investissement dans le digital et capacité d’adaptation. »

Encore en phase de traitement des données, l’étude fera l’objet d’une restitution-évènement cette année. Elle participera à la constitution d’un observatoire dédié à ces questions. « Le but de notre chaire est aussi de faire de la recherche opérationnelle en élaborant des outils concrets, précise Julien Granata. Ces indicateurs nous permettront de créer un label de maturité à la digitalisation pour permettre de réaliser un diagnostic des entreprises et de les aider à se situer. »

 

 

 

94 rue Henri Nogueres (ExcEd)

ou 2300 avenue des Moulins (Campus)

34185 Montpellier Cedex 4 – France

www.montpellier-bs.com

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